Samedi 19 janvier 2008 à 20:56

Jeudi 17 janvier 2008 à 1:27

Et PUTAIN que ça fait du bien !









Lundi 14 janvier 2008 à 22:11

Peut-être que je suis pas tellement optimiste.
Peut-être qu'on va se prendre deux branlées à domicile cette semaine.
Peut-être que l'équipe a réalisé une performance plus que déplorable dimanche.
Peut-être que c'est pas cet article qui va changer quoi que ce soit.
Peut-être que je ne suis qu'un parmi des milliers d'autres, dégoûté, humilié, sans espoir ou presque.
Peut-être justement que c'est sans espoir.
Peut-être que tout est déjà joué.
Peut-être que les solutions apportées aux problèmes ne fonctionneront pas.
Peut-être que Daniel Leclercq n'est pas Superman.
Peut-être que l'arrivée probable et attendue d'une nouvelle recrue offensive ne suffira pas.
Peut-être que certains joueurs, très bons d'habitude, sont en dessous de tout en ce moment.
Peut-être que l'objectif de la saison qui était d'accrocher Lyon est devenu le maintien.
Peut-être que mon club de coeur va connaître la honte d'une descente en Ligue 2.


Mais rien de tout ça ne m'empêchera, même infimement, et sûrement par aveuglement, d'y croire.
Parce que c'est l'idée que je me fais d'un supporter.
Parce que c'est l'idée que je me fais d'un supporter lensois.

Hier, aujourd'hui, et demain, quoi qu'il arrive, je porterai fièrement les couleurs du Racing.


Lundi 14 janvier 2008 à 17:19





Moi j'aime bien !

Dimanche 13 janvier 2008 à 15:34

Act-Up accuse dimanche le président Nicolas Sarkozy de "banaliser la haine homophobe" après l'investiture accordée par l'UMP pour les municipales de Tourcoing (Nord) à Christian Vanneste, condamné pour homophobie.

L'association rappelle que samedi trois militants d'Act-Up ont "perturbé le discours de Nicolas Sarkozy lors du Conseil national de l'UMP" et se sont "retrouvés en garde à vue" avant d'être libérés vers 21h45.
"Alors que les militants l'interrompaient, Nicolas Sarkozy s'est contenté de plaisanter sur le fait qu'ils étaient peu nombreux", déplore Act-Up, précisant que son action "avait pour but d'interpeller la légitimité que l'UMP et le Président de la République donnent à l'homophobie en investissant Christian Vanneste", député qui "tient pour acquis que l'homosexualité est une menace contre la survie de l'humanité".

"En le légitimant, l'UMP cautionne celles et ceux qui insulteront, frapperont, brûleront, égorgeront des personnes homosexuelles, bi ou trans",
accuse Act-Up.
"Sur un sujet aussi grave, pour lequel Nicolas Sarkozy s'était personnellement engagé (...), nous n'avons donc eu comme uniques réponses que de l'ironie facile ou de la répression", assure l'association.

Alors que Nicolas Sarkozy évoquait "son refus du sectarisme", deux hommes s'étaient levés samedi munis de pancartes sur lesquelles était écrit "Vanneste homophobe".
"Ca fait des années qu'ils protestent et ça ne sert à rien. Vous vous rendez compte, ils n'en ont trouvé que deux dans un pays de 64 millions d'habitants", avait réagi M. Sarkozy, sous les applaudissements.


Act-Up demande que les poursuites contre ses militants soient retirées et que "Nicolas Sarkozy fasse ce qu'il a dit et exclut Christian Vanneste de l'UMP comme il l'a promis".

Jeudi 10 janvier 2008 à 18:58

La première :

En attendant Ingird, Clara est libre !


La seconde, d'un autre ordre :


Directeur Technique !
En attendant l'arrivée d'offensifs avant la fin du mois, ça fait du bien de voir qu'enfin il y a du mouvement dans le staff ! Enfin un VRAI sportif pour gérer les affaires sportives du club !!

Allez ! Encore !

Mercredi 9 janvier 2008 à 4:39

Peut-être on va me dire que j'suis taré, mais j'en ai pas tellement l'impression, personnellement.

Ca fait plusieurs mois que j'ai pris connaissance de ces infos là, je sais qu'on a aussi d'autres choses à foutre que de s'occuper de ça en ce moment avec notre ami Nicolas, mais au cas où vous ne les auriez jamais vues, regardez ces petites vidéos.
La deuxième est entièrement en anglais, désolé.


Sur cette seconde vidéo, on voit une journaliste commenter l'effondrement récent d'un building... qui est encore bien tranquille derrière elle !!


Alors bon, je me fiche de savoir qui a tué Kennedy, et si on a vraiment marché sur la Lune, mais avouez que Roosevelt et Pearl Harbor, à côté de ça, c'est des ptits joueurs !

Dimanche 6 janvier 2008 à 4:47

Cet après-midi j'suis allé voir mes grands-parents. Enfin mes grands-mères plutôt.

Ma grand-mère paternelle vit dans une grande batisse familiale, érigée après la grande guerre d'après ce que je sait. Une grande façade plate, beige avec quelques touches de couleurs grâce au bleu des appuis de fenêtres, plusieurs pièces de hauteurs inégales qui témoignent de l'agrandissement au coup par coup de la demeure. Jusqu'à la mort de mon grand-père, il y a bientôt 17 ans, des roses grimpaient le long du mur de part et d'autre de la porte d'entrée. Le trottoir devant la maison est surélevé, il forme une terrasse pas très large sur toute la longueur du batiment. Des marches devant l'entrée, autrefois encadrées par deux simples tuhyas, grands, ronds, dont l'un cachait la boîte aux lettres. Un peu plus tard, une rambarde, aujourd'hui disparue, fut ajoutée pour aider les vieilles gens à venir boire "eune goutte eud'jus" dans la grande cuisine, pièce principale de cette batisse chaleureuse, modeste malgré ses dimensions imposantes. Nous sommes dans un village du Pas-de-Calais. A droite de la maison, un grand jardin aujourd'hui une pelouse plus ou moins en friche. Dans mon enfance, nous y accédions en longeant vers la droite la façade de la maison, bifuruquant à gauche nous avions :

Sur la gauche un parterre masquant le plafond de la cave, creusée à la main par mon arrière grand-père et ses frères.
Un peu plus loin à gauche, l'arrière de la maison, un garage pour la scieuse à bois, actionnée par le moteur d'un vieux massey-ferguson qui ne servait plus qu'à ça. De là, encore à gauche et nous avions la remise, renfermant les pommes de terre, la paille pour les lapins et le congélateur.

Revenant au point de départ, en avançant tout droit, nous passion à droite de l'atelier de mon grand père. Zone interdite. Objet de regards furtifs motivés par cette curiosité interdite. Outils tranchants, machines bruyantes, masques, clous, boites de toutes sortes.
Nous passons sous une balançoire, installée peu avant la naissance de mon père, qui est né dans cette maison d'ailleurs. La planche de feu la balançoire ne résistait pas plus de deux semaines aux acrobaties des enfants que nous étions.

Enfin, sur la droite s'étendait le jardin, autre zone interdite, dont l'accès était parfois autorisé, en présence d'un adulte pour aller y cueillir quelques unes des rares fleurs ou un bouqte de thym pour le repas du dimanche.

Derrière la maison, une immense patûre, terrain de jeu et de cueillette au temps des bleuets, des perce-neiges, des jonquilles...

Sur la gauche de la masure, le garage, lui aussi juxtaposé plus tard, il abritait le camion de mon grand-père. Tous les matins de sa vie, le départ était à 5h tapantes. Mon père et tous mes oncles ont travaillé plus ou moins longtemps avec mon grand père. Il était chargé, entre autres, d'effectuer le "ramassage" des ouvriers travaillant à plusieurs dizaines de kilomètres de là, sur les terrils de Somain. L'hiver, pour faire partir le moteur gelé, il fallut bien des fois placer entre les roues du bahut un chalumeau dont la flamme bleue remplaçait les rayons du soleil tardant à poindre.
A l'extrême gauche de la maison, une autre pature, bordée d'arbres dont chacun renfermât un jour ou l'autre une de nos cabanes plus ou moins esthétiques, plus ou moins sécurisées. Je garde encore le souvenir des craquements impromptus des branches fragilisées par nos assauts répétés, et le barbelé qui courait entre les troncs menaçait chaque fois de déchirer nos vêtements du dimanche, chose que nous redoutions bien plus que nous rompre le cou lorsque nous chutions. Parfois la compagnie des vaches donnait un peu plus de "saveur" à ces chutes...

Le terrain de droite était celui d'une ferme. Nous nous y rendions le soir venu, portant pots de fer et, après nous être glissés entre les vaches regroupées pour la traite, nous attendions que le fermier les remplissat de lait, les rapportant avec précaution pour le petit-déjeuner du lendemain.


En entrant dans la maison, d'abord la cuisine. Un grand buffet dans le fond, la grande cuisinière à charbon, en fonte, ouvrait parfois sa gueule rougeoyante pour engloutir un journal, un papier chiffoné, un emballage quelconque. Souvent, des épluchures d'orange ou de mandarine y brunissaient, embaumant l'atmosphère hospitalière de la pièce.

A gauche, la "table des petits" ou nous étions réunis lors des repas de famille. Et interdiction de se mêler des discussions de l'autre table.
Dans le coin, toujours à gauche, le téléviseur, simple, qui avec le temps sera placé en hauteur et deviendra le compagnon perpétuel et abrutissant de ma grand-mère. mais n'allons pas trop vite, revenons 20 ans (ou presque) en arrière.

A côté de la télévision, le "fauteuil de papy". Encore des années après son décès, peu d'entre nous pouvaient se risquer d'y poser les fesses. Contre le fauteuil se dressait le grand buffet, seul vestige survivant aujourd'hui. Puis dans le coin droit le frigo, au dessus duquel trônait et trône toujours une grand cafetière, qui avait rarement le temps de refroidir.

A côté du frigo, l'évier, où les femmes, puis les enfants faisaient la vaisselle ou lavaient les légumes, bien souvent les pommes de terre pour les fournées de délicieuses frites qu'engloutissaient la grande famille et les amis venus partager notre repas. Puis la cuisinière sus-citée, à laquelle était juxtaposée une gazinière et un four.

Au centre, la grande table avec une floppée de chaises et toujours la boîte à sucre et la brique de lait pour le café.

A droite, la salle de bains, les toilettes, l'accès à la cave, que je n'ai du visiter qu'une ou deux fois tant la pénombre qui y régnait alimentait nos imaginations enfantines.

A gauche, la "pièce du milieu". Un piano que j'ai toujours connu désaccordé. des armoires pour le reste de la vaisselle et le linge de maison.
Et l'escalier menant à l'étage. Un escalier raide comme la justice. Mon père nous raconte souvent comment il le dévalait quatre à quatre, inconscient du dénivelé suicidaire des marches. Je ne pense pas que mon père nous mente à ce sujet, mais j'aurai bien du mal à le copier, tant ces marches m'ont toujours semblées traitres et prêtes à se décrocher si l'on forçait un peu trop l'appui.

Encore à gauche, dans le fond, la "pièce du fond" Eh oui, on est pratique dans la région.
La pièce ou dormit ma grand-mère quand elle ne put plus monter dans sa chambre à coucher.
La pièce ou l'on veillat mon grand-père pendant trois jours, entre le 1er et le 4 avril 1991.
La pièce ou vécut pendant bien des années mon arrière-grand-mère.
Cette pièce du fond avec cet immense portrait du premier né de mes cousins, d'une bonne dizaine d'années mon ainé, bien sûr considéré, je l'appris en grandissant, comme le fils prodigue de la famille, étant le premier petit-fils.

A l'étage l'escalier donne directement sur une chambre, le lit tout de suite à droite.
La pièce de gauche, la chambre à coucher de mes grands parents. Ou je devais passer toutes les nuits ou je dormirai dans la grande maison, dans un petit lit collé à la cheminée, dont la chaleur rendait le mur parfois brulant. Un troisième lit un peu plus grand, qu'occuperait mon frère. La troisième pièce, à droite de l'escalier était aussi une chambre. Souvent fermée à clef, un simple trou carré dans le plafond dans un des coin y faisait entrer la chaleur du bas. Petit, je me suis souvent demandé si ce trou n'avait pas pour origine un ehorrible chute d'un de mes ex-futurs oncles, qui serait passé à travers le plafond en cet endroit. La forme carrée du trou me rassurait à peine.

Voilà en beaucoup de lignes la maison de mes grands-parents paternels. J'y ai passé de nombreux week-ends de ma petite enfance. Aujourd'hui nous y allons moins souvent. L'atelier, la balançoire, les garages, le jardin, les "cages à lapins" ont disparu.

Comme je l'ai dit, je m'y suis rendu ce samedi avec ma famille, pour présenter nos voeux à ma grand-mère.

Je la revois préparant les gateaux au chocolat. Entre cousins, nous nous battions pour pouvoir gratter le saladier enduit de pate sucrée et farineuse.

Assise à table, entourée de ses enfants, et de ses petits-enfants. Bonne-vivante, ne regardant pas à la dépense quand il s'agissait de faire la fête, d'inviter tout le monde à partager les repas, faisant parfois quelques injustices, favorisant tels petits-enfants vis-à-vis d'autres, nous ne nous en rendions alors pas compte et cela n'a guère d'importance aujourd'hui d'ailleurs.

Sa grande figure ronde, ses cheveux frisés tombant sur ses épaules, vêtue de grandes robes noires à petites roses.


Depuis une dizaine d'années, quelques problèmes au genou, une opération. Peu de volonté, pas d'amélioration. Elle ne bouge plus depuis longtemps.
Elle avait beaucoup maigri ces derniers temps.

En entrant dans la pièce, toujours ce grand vide. La cuisine n'a gardé que le grand buffet. Une petite table, le lit médical, une petite gazinière, la télévision, et un fauteuil.

Ma grand-mère est là, orientée vers la télévision, vissée depuis des années du matin au soir sur la même chaine.

Elle voit la télévision, sa tête, son corps sont orientés dans sa direction.
Elle ne regarde plus la télévision.

Mon père entre le premier. Depuis quelques visites, elle ne le reconnait plus. On dit bonjour. Un baiser sur ses joues duveteuses. On dirait que sa tête s'est réduite de moitié. Son regard perdu ne se fixe pas sur nous. Nous ne sommes pas là.

Nos "bonne année" reçoivent une réponse presque réflexe, un résidu de socialisation : "bonne santé".

Après quelques instants, je la vois qui bouge ses lèvres. Elle parle en fait toute seule à longueur de temps. Un dialogue avec un inconnu presque inaudible. des quelques bribes que j'ai pu en entendre, elle parle d'un vieux grand-père, trop vieux, qu'on aurait remplacé par un allemand. On fera un grand enterrement au grand-père, un enterrement qui sera écourté s'il venait à pleuvoir. Elle parle aussi de poux, de "petites bêtes noires qui ne piquent pas, mais qui sait, un jour elles finriont par piquer".

Elle est incroyablement maigre. J'ose à peine comparer les visions de maigreur des prisonniers des camps avec la taille de ses os. Ses jambes sont deux batons, des os, presque sans peau. Ses mains crispées sont les seuls membres qui semblent n'être pas encore ankylosés.

Elle marmonne. Sa voix monte et descend. Elle ne se soucie pas le moins du monde des images ni du son provenant de la télévision. Mon père s'assied à côté d'elle, il l'écoute. Lui dit quelques mots. Elle n'est pas là. Elle est ailleurs.

Que faire. Nous repartons.
Dans le chemin qui nous conduit vers ma grand-mère paternelle, je m'évertue à chasser de mon esprit ces souvenirs. Je combat les larmes que je sens monter. J'attrape sans détourner la tête le roman que je suis en train de lire et m'y replonge pour faire glisser l'orage dans l'oubli. Une pensée traverse mon esprit et la gorge se noue une nouvelle fois. Je sais que mon père est dans le même état que moi, je ne pense pas me tromper en affirmant que c'est même pire. Les larmes qu'il combat lui aussi laissent quand même ses yeux trop humides. Ce n'est pas bon pour conduire. Il retire brièvement ses lunettes, passe le revers de la main sur son oeil droit et les remet en place. Roule.

Cette vision furtive manque de provoquer l'ouverture des vannes de mon côté. Je reprend mon livre, ça passe.

C'est peut-être très con de ne pas pleurer quand on en a envie, mais c'est comme ça.



Samedi 5 janvier 2008 à 2:08




J'vous aime les gens !

Dimanche 30 décembre 2007 à 4:44

Il est 4h, j'ai pas vraiment sommeil, il s'passe rien d'bien intéressant sur ma petite zone web.

Pour m'occuper, et surtout parce que je sais pas trop si j'aurai envie de le faire plus tard, voici la météo de l'année 2007.
On pourra dire qu'elle aura été remplie. Je sais d'ailleurs pas si j'ai vraiment envie de me replonger dedans. Elle aura été importante, je crois que c'est une année qui va compter, mais j'ai du mal à lui trouver "bon goût"... J'ai pas encore pris totalemetn conscience de ses conséquences.

Michel Berger chantait :
" Ce sont toujours les regrets
Pas les remords qui nous rongent "

Alors jetons-nous à l'eau.

JANVIER

Bien commencé l'année. Digestion de croques-monsieurs et d'alcools difficiles pour certaines... C'était bien.
Nos distances prises avec d'autres qui font leur cuisine dans leur coin. Persona non grata nous étions, et fiers de l'être d'ailleurs.
La fin d'un premier semestre à Amiens, requinquant sur plusieurs plans. Je me suis senti revivre ces derniers mois.

FEVRIER

Il y a eu un mois de février ? J'avoue que je risque d'avoir du mal à meubler jusque juin, tant les évènements de l'été ont eu un effet amnésiant sur le printemps. Les semaines passent, rythmées par les cours et leur séchage aussi.

MARS

Qu'est-ce que j'ai fait en mars ? J'essaierai de trouver des indices dans mes archives.

AVRIL

Il me semble que les examens approchaient. La fin de l'année scolaire.

MAI

Des examens comme une lettre à la poste. Des surprises dans les résultats. (John Major est un gros con sur ce coup là)

JUIN

And now ladies and gentlemen...
Découverte un peu sur le tard d'un projet lancé depuis le début de l'année par Benji. Quelque chose de beau. J'en ai parlé à certains ici et là. Un truc dont on devait parler justement pour cette fin d'année. Quelque chose de médiatique, de caritatif, de national, de bien. Une semaine chez Benji. Du téléphone, des discussions, des mails. Pour le projet.

Des discussions. Hors-projet.
Découvertes, rapprochements, soulagements.
Ephémères.
De là vient l'importance de cette année. Je n'arrive pas encore à quantifier.

Une fête de la musique aussi. Un concert de Renaud. Un beau mois de juin.
Un excellent mois de juin.

JUILLET

Putain 22. Et ça, c'est le moins grave. Tite entrevue dans un café près de la Gare du Nord.
Au téléphone dans le train du retour. A peine entré, déjà fiché. Pas le temps de s'installer.

Taf à la SNCF. tranquille et sympa comme d'hab', quoique moins d'ambiance que l'année dernière. Et ça va pas s'arranger.

31 juillet complètement hors du temps.

AOUT

Continue le travail en mode robot aux pensées figées pendant quelques jours. Un sourire de façade, pour les collègues.
Black-out. Silence radio sur les ondes ardennaises.

A l'est du nouveau. Télégramme positif, si on veut.
Petites mises au point téléphoniques.

Un appareil photo qui coute cher mais qui va m'aider à me remettre à quelque chose.

SEPTEMBRE

 "Alors je rentre seul, triste comme un menhir, mais personne n'est là pour m'entendre mentir."
Une rentrée un peu fantôme. Une bonne camarade aide à tenir. Vanessa motivée. mais je la déçois. Décidément !

OCTOBRE

Un an avant, l'inverse total. Ca se passe. Ca se calme. On absorbe, on comprend, on assimile la réalité. Les conséquences sont là.
Je ne vais PAS mal. Mais incomparable avec 2006.
On se raccroche, je 'mimplique dans d'autres choses. En fait les mêmes, mais différemment.

NOVEMBRE

On avance. Enfin la vie continue. Une suite tout à fait semblable à octobre.
Ah j'allais oublier, depuis juillet un ami rencontré ici, sur ce blog. Du soleil quand même.
Début d'une ellipse universitaire.

DECEMBRE

Du temps perdu ? Peut-être. En tout cas une grande implication. De nouvelles connaissances, bizarres, sympathiques, privées. A développer pour l'une d'entre elle.
Des vacances officielles après les journées à rien faire. On s'y occupe un peu plus, "c'est les vacances".

Un bon Noël, j'en ai profité. Ces occasions d'oublier tout ça sont rares. Même le Gala a eu sa tache. Mais j'en suis ressorti plus confiant, plus fier, plus sûr de moi, de mes idées, de mes amis. Elle a pas demandé son reste. C'est pas grand chose mais "ça fait plaisir". Quelques heures de musique positivement hors du temps.

Durant le mois quelques reprises de contacts. Faire la part des choses, l'eau à coulé sous les ponts. Des choses se clarifient. un peu partout.

Le planning de janvier se remplit plus vite qu'il n'y parait. J'ai besoin d'une dizaine de week-end rien que pour ce premier mois de l'année.

A placer :
- Un week-end spécial à Paris. (Avec une petite appréhension mais une curiosité motivante : YAISSE !)
- Un passage aux Ulis. (OBLIGATOIRE)
- Les voeux aux grands-parents (qui sauteront ptêt', OUPS!)
- Des révision d'exams (si elles sautent, on les remet à mai-juin)
- Une soirée au théâtre avec plein de gens. (à mettre en place et à financer...)
- Un match de foot qui risque de sauter faute de temps. (et ça fera des économies)
- Une formation pour un taf en janvier-février. (qui va aider les économies)
- Et un anniversaire de cousin. (presque facultatif vu the next week) (cf un futur article maybe)

Pour bien faire, toutes ces réjouissances ne peuvent pas se placer n'importe comment. Par exemple le week-end spécial et les Ulis, ça sera possible que deux week-end dans le mois. (dispos des gensss) et je sais pas encore lesquels. Allez faire un planning avec ça !
Et vu que le week-end du 5-6 est déjà out pour cause de préparation de VRAIE reprise des cours...

Enfin ça va toutes ces perspectives m'aident à pas déprimer après ce plongeon dans le passé proche.

2008 n'est pas attendu avec impatience. J'attend juste janvier parce que yaura des trucs bien.


Rien à foutre de 2008...

J'aimerai parler de musique dans mon prochain article. Des découvertes intéressantes. comme ce que vous écoutez en ce moment. Mais j'en ai pas déjà parlé quelque part ici ?

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